Le 22 janvier 2012, les jeunes socialistes de la Corrèze seront au Bourget

Le premier grand rassemblement de la campagne de François Hollande se déroulera le dimanche 22 janvier 2012 à partir de 13h30 au Bourget.

Pour le déplacement, un bus est mis en place au départ de Tulle, départ à 6h.

Les frais de déplacement par le bus seront pris en charger par la Fédération des Jeunes Socialistes de Corrèze.

Inscrivez vous RAPIDEMENT (le nombre de place est limité) par mail (matthieu.clauzade@gmail.com) ou par téléphone (06.40.12.62.14).

Lettre à la Jeunesse, par l’ensemble des Jeunes Socialistes de Corrèze

Au lendemain du premier tour des primaires citoyennes, nous, jeunes socialistes de Corrèze, nous
félicitons du succès de cette consultation démocratique qui rénove la vie politique française. Nous
appelons sans plus attendre chaque citoyen à revenir voter massivement dimanche 16 octobre prochain
pour notre candidat François Hollande.
- Parce que François Hollande est le candidat du changement et de la justice, qui permettront de refonder
un pacte social qui rassemblera l’ensemble des Français ;
- Parce que François Hollande, en plaçant la jeunesse au coeur de son projet, a compris la désespérance
de notre génération et dessine un avenir de progrès pour notre pays ;

Discours des Jeunes Socialistes de Corrèze – Fête de la Rose 2011 – Clergoux (19)

Retrouvez les discours de la fête de la rose de la Corrèze en vidéo ICI

Déroulé de la vidéo:
0:00 Arrivée de François Hollande à la salle de L’Usine,
1:11 Discours d’accueil de Claude Gounel, maire de Clergoux,
5:01 Discours de Bernard Combes, maire de Tulle, conseiller général du canton de la Roche Canillac,
11:25 Discours de Mathieu Clauzade, mouvement des jeunes socialistes de la Corrèze,
20:23 Discours de Jean-Marc Seijo-Lopez, 1er secrétaire fédéral.

Retrouvez le discours de François HOLLANDE, Député, Président du Conseil Général ICI

Intervention de Matthieu CLAUZADE

Animateur fédéral des Jeunes Socialistes de la Corrèze


Mes chers camarades, chers élus, chers amis,

Je pourrais vous parler des primaires, ne vous inquiétez pas je le ferai, mais je vais commencer par l’école primaire.

Prenons au hasard une jeune fille née en 1996, en Corrèze, pourquoi pas à Clergoux. Quand sa mère termine son congé maternité en mai 1997, elle a la chance la gauche arrive au pouvoir. Ses parents, qui travaillent tous les deux, réussissent à obtenir une place en crèche. Elle rentre à la maternelle à 2 ans.

La chance s’évanouit en 2002. La droite revient au pouvoir dans les conditions dramatiques à la suite du 21 avril et j’en suis persuadé, personne ne l’a oublié.

6 ans en France, c’est le début « théorique » de la scolarité obligatoire par la rentrée à l’école primaire. C’est le point de départ de l’apprentissage de sa vie de femme et de citoyenne.
Très vite, ses parents plein d’espoirs vont déchanter à la sortie de l’école. Un soir de l’automne 2005, un de ses camarades se retrouve tout seul dans la cour. Ceci n’est pas une fiction, le père du jeune garçon vient d’être arrêté brutalement. Elle pose alors la question de cet enlèvement à ses parents. Gênés, ils lui expliquent qu’en France comme prés de 30 000 personnes chaque année, le papa de son camarade vient d’être expulsé, séparé de sa famille, qui travaillait et vivait pourtant dans notre pays.
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En tête à tête à Beaulieu

La rencontre « En tête à tête avec les Jeunes de la Corrèze » de Beaulieu aura lieu Dimanche 24 à la salle des Ursulines à partir de 16h.

En tête à tête à BRIVE

La rencontre « En tête à tête avec les jeunes de la Corrèze » de BRIVE aura lieu Samedi 23 au Garden Ice Café à partir de 17h.

La guerre en Afghanistan à l’ère démocratique

Comment interpréter les réactions face à l’annonce du décès de nouveaux soldats français sur le terrain afghan, les pertes humaines de l’armée française dans ce pays ayant atteint le nombre de 70 depuis 2001 ?

Rendent-elles nécessaires de rappeler, comme s’y est employé le ministre de la défense, Gérard Longuet, que la guerre tue, et que l’abnégation totale, jusqu’à la mort, fait partie des risques quotidiens encourus sciemment par tout soldat ?

Au contraire, ne nous invitent-elles pas plutôt à renouveler nos référentiels théoriques et analytiques sur la guerre et, plus largement, les sociétés humaines ? Ne peut-on en effet y voir une nouvelle manifestation de la conscience démocratique ?

N’est-ce pas finalement le triomphe de la démocratie qui pointe à l’horizon, non pas en Afghanistan même – malgré les velléités de l’ancien président américain, Georges Bush, d’y installer la démocratie par la force – mais au sein de nos pays engagés dans un processus continu de renforcement de la logique pacificatrice à l’œuvre au sein des démocraties libérales?

Après les progrès du droit international humanitaire – en partie sous l’impulsion de la société civile et d’ONG, tel que le Comité International de la Croix Rouge – qui nous ont rendus plus sensibles à la nécessité de protéger les populations civiles des conséquences de la guerre (déjà perceptibles lors de la guerre au Vietnam), et qui ont permis d’encadrer le déroulement des conflits pour rendre la guerre plus loyale (ce qui peut être contesté dans le cadre de la guerre afghane par ailleurs) – on n’ose dire plus juste -, il semble que les opinions occidentales acceptent désormais de moins en moins que leurs soldats payent de leur vie leur engagement pour leur patrie. On voit par ailleurs poindre l’un des bénéfices de la diffusion de l’information au niveau planétaire et le rôle irremplaçable des médias.

En effet, la démocratie suppose le règlement des différends et des désaccords par la voie du dialogue, de la confrontation des points de vue, au travers d’une expression libre, éclairée, égale de tous les citoyens : l’organisation démocratique d’une société pousse encore plus loin la logique du « monopole de la violence légitime » exercé par l’Etat, que nous a dévoilée l’analyse de Max Weber il y a un siècle. Elle tend à rendre l’usage de la violence même illégitime, y compris dans le règlement des différends entre Etats et nations.

Aussi, à l’heure où la mondialisation fait l’objet de nouvelles attaques, en particulier sur le terrain économique, les réactions suscitées par les pertes de notre armée sur un terrain d’opérations aussi éloigné de la France qu’est l’Afghanistan ne peuvent être analysées comme une régression de notre société, mais bien plutôt comme le signe d’une conscience renforcée d’une nécessaire pacification des relations, non seulement à l’intérieur des frontières, mais de plus en plus, au-delà des frontières. Elles plaident également pour un nouvel approfondissement de la démocratie libérale au niveau interne, dévoilant l’impérieuse nécessité d’associer l’ensemble des citoyens à la décision de mener des opérations extérieures. La réforme initiée par la révision constitutionnelle de 2008, qui permet désormais au Parlement de s’exprimer sur les engagements militaires de la France, comme il vient de le faire pour la Libye, est un premier pas vers ce nouvel élan démocratique, mais sa portée se révèle bien mineure, et elle reste insuffisante. S’il est sans doute nécessaire de ne pas ouvrir la boîte de Pandor sur cette question qui requiert expertise et sang-froid, les gouvernements ne pourront plus ignorer pendant encore bien longtemps l’aspiration des peuples à se prononcer sur le destin commun qu’ils veulent construire pour la communauté humaine. Si la fin des conflits armés n’est pas pour demain, on voit bien tous les bénéfices que l’on peut tirer d’un renforcement du processus démocratique au niveau interne et international.

Plutôt que de vouloir imposer la démocratie par la force, ce qui ne constitue plus qu’une utopie largement battue en brèche, affermissons sa logique et ses ressorts au sein même de nos frontières, et ouvrons-nous aux autres peuples afin que, par le contact et des échanges réguliers, continus et surtout respectueux, nous enrichissions mutuellement nos modèles de gouvernement, et nous soutenions les mouvements d’émancipation qui ne manquent pas de se manifester avec un éclat particulier depuis plusieurs mois. C’est là peut-être que réside l’une des leçons convergentes qui peut être extraite des événements en Afghanistan et dans les pays du « printemps arabe » : plutôt que l’interventionnisme ou le protectionnisme, renouvelons notre rapport au monde, et concrétisons cette évidence que nous sommes tous mus par une commune humanité, qui doit nous conduire à bannir la violence physique des relations entre les hommes.

Alors que les armées risquent de subir de solides restrictions sous le poids des contraintes budgétaires, il serait sans doute temps d’engager un débat ouvert sur la politique de défense de la France, mais également de ne pas s’en tenir à de stricts impératifs budgétaires pour renforcer les capacités diplomatiques de la France, l’aide au développement et tous les mécanismes qui favorisent les rapprochements de toute nature entre les peuples. Voici un autre enjeu fondamental de la campagne présidentielle de 2012.

Vivement 2012 !

Décidément, il est grand temps que la droite reprenne enfin contact avec la réalité et la société française, dans un monde où l’aspiration des peuples à participer activement au gouvernement de la chose publique s’est manifestée avec éclats ces derniers mois. D’ailleurs, le dernier rapport public du Conseil d’Etat (Consulter autrement, participer effectivement) se fait lui-même l’écho de l’impérieuse nécessité de prendre ce tournant historique sans plus attendre.

Alors que les partis de gauche, par l’organisation de primaires, se révèlent en symbiose avec ces évolutions irréversibles des démocraties contemporaines, la droite se crispe sur une pratique archaïque, passéiste et autoritaire du pouvoir, et joue, une fois de plus, la carte de la division et de la peur.

C’est ainsi que plusieurs de ses représentants, et non des moindres, n’ont eu de cesse de brandir le vieux fantasme du « fichage » qui, selon eux, se profilerait derrière le déroulement des primaires. Une fois n’est pas coutume, ces détracteurs effarouchés font fi des avis indépendants d’autorités reconnues telle que la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés). Il y a quelques jours, certains ne manquaient pas de s’en prendre à la Cour des comptes, qui selon eux aurait pour principal défaut de ne pas avoir un président issu de leurs rangs. Cela en dit long sur la vision clanique de l’exercice du pouvoir qu’ils ont en partage, et sur l’amnésie qui les saisit alors même que le gouvernement actuel s’emploie activement, depuis plusieurs années, à consolider l’Etat sécuritaire qu’il a si minutieusement érigé, et qu’il ne cesse de multiplier des fichiers aux périmètres tentaculaires. Ces différents événements dévoilent avec éclats, s’il en est besoin, les réticences insurmontables à droite face à toute tentative de diffusion du pouvoir et de renforcement des contre-pouvoirs.

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« En tête à tête avec les Jeunes de Corrèze »


Les Jeunes Socialistes de Corrèze se mobilisent pour sensibiliser les jeunes citoyens aux Primaires citoyennes.

Cet été, une caravane sillonnera la Corrèze et fera étape dans 9 villes corréziennes.

Elle partira de Brive-La-Gaillarde le 23 juillet et terminera son parcours le 24 septembre à Corrèze.

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Optimiste Jeunesse : Jeunesse, choisis ta voix et décide lors des Primaires Citoyennes des 9 et 16 octobre 2011

L’optimisme, c’est croire en la Jeunesse.

Elle constitue cet élan vers
l’Avenir, si riche dans sa diversité, que l’on ne peut guère concevoir la
pérennité d’une société sans Elle. C’est pour cela qu’elle doit être le
fondement de nos réflexions politiques, qu’elle doit occuper une place
première, éminente et supérieure dans la genèse de toutes nos réformes
gouvernementales ou locales.

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F.Hollande est le meilleur candidat pour 2012 !

François Hollande sur tous les fronts… Après le lancement de sa campagne pour les primaires le 27 avril, il a reçu le lendemain Nicolas Sarkozy sur ses terres corréziennes. Les Jeunes socialistes croient-ils en lui ? A t-il ses chances ? J-P a twi’nterviewé Matthieu Clauzade, Animateur fédéral du MJS de Corrèze…


1- La Corrèze est sous le feu des projecteurs… Nicolas Sarkozy qui vient parler de la « filière bois » sur les terres de Chirac et d’Hollande, c’est une coïncidence ou une stratégie ?

Stratégie, mais pour notre candidat, 2012 rimera avec victoire, pour les autres c’est peut être trop tard…

2- François Hollande a déclaré que Nicolas Sarkozy était venu prendre un « brevet de Chiraquie »… Pourquoi, c’était mieux sous Chirac ?

Un brevet… Cependant, l’oral de 2012 montrera que Nicolas Sarkozy n’est pas à la hauteur des défis présents et à venir.

La suite du Twi’nterview sur le blog Jeunes Politiques par ici.